Desmosaïques décoraient le sol ou les murs dans les pièces les plus importantes de la villa. Faites de pierres naturellement teintées, elles racontent une partie de l'univers de leur propriétaire. Celles qui ont été mises au jour pavaient 8 des 35 salles de la villa, et la neuvième (dont la restauration n'est pas terminée) le temple
Jour2 : Proposition d’itinéraires pour découvrir Rome. Colline de Janicule. Voici l’une des célèbres collines de Rome et l’une des plus belles vues de la ville éternelle. D’un côté Saint Pierre, de l’autre toute la capitale italienne qui s’étire devant vos yeux. Montez en bus et descendez à pied.
dela maison au grand péristyle de Vieux-la-Romaine. P. 24 ANNEXE II: LES TEXTURES P. 32 . 3 Nous adressons nos remerciements au personnel du musée archéologique de Vieux-La-Romaine pour l'accueil qui nous a été fait lors de notre visite du 17 octobre. Nous remercions aussi très sincèrement Mme Nicola Coulthard, directrice du service archéologique du Conseil général du
cash. Cordoue Córdoba, qui est l’une des huit provinces d’Andalousie est le chef-lieu de la province de Cordoue le nom “Andalousie” est en réalité dérivé du mot arabe “Al Andalus” qui est la marque même de l’influence musulmane qu’a connue cette région du VIIIe au XVe siècle. Les trois principaux philosophes nés à Cordoue sont Sénèque, Averroès et Maïmonide, philosophes majeurs de la civilisation romaine, islamique et juive. La ville possède un riche patrimoine architectural et culturel, qui conserve des vestiges des différentes phases de son histoire. Le Centre historique de Cordoue est classé depuis 1994 au patrimoine mondial de l’UNESCO, de même que la mosquée-cathédrale, Medina-Azahara ainsi que la fête des patios de Cordoue, ce qui fait de Cordoue la ville du monde la plus classée au patrimoine mondial de l’UNESCO. Cordoue compte des monuments tels que le pont romain, la mosquée-cathédrale Mezquita, le quartier juif médiéval Judería et l’Alcázar des rois chrétiens. Plusieurs symboles représentent la ville de Cordoue. En héraldique, un blason répandu figure un lion. La devise espagnole de la ville est Casa de guerrera gente / Y de sabiduría clara fuente », ce qui signifie Demeure d’une guerrière population / et de sagesse claire fontaine ». L’écu représentant actuellement l’Ayuntamiento de Cordoue est de forme ronde et montre une vue de la ville avec le Guadalquivir, le pont romain, le moulin de la Albolafia, une muraille crénelée, la Puerta del Puente Porte du pont, la mosquée-cathédrale et le minaret flanqué de palmiers. Tourisme Patrimoine Le centre historique est l’un des centres historiques les plus grands d’Europe. En 1984, l’UNESCO a inscrit la Mosquée-cathédrale au patrimoine mondial. Plus tard, en 1994, l’UNESCO a étendu cette dénomination à la plus grande partie de la vieille ville. La mosquée-cathédrale de Cordoue est également connue sous son ancien nom de grande mosquée de Cordoue Mezquita de Córdoba et sous son nom canonique et officiel de cathédrale Notre-Dame de l’Assomption Catedral de Nuestra Señora de la Asunción. C’est un ancien temple romain qui devint basilique chrétienne, du IVe au VIIe siècle, du temps de la monarchie wisigothique, puis une mosquée, du VIIIe siècle jusqu’au 29 juin 1236, date à laquelle elle a été consacrée comme cathédrale. C’est, chronologiquement parlant, un monument majeur de l’art des Omeyyades de Cordoue et le témoin de la présence musulmane en Espagne du VIIIe au XIIIe siècle. La synagogue de Cordoue est un tout petit bâtiment construit au début du XIVe siècle. Elle est connue pour être l’une des trois seules synagogues espagnoles conservées datant d’avant l’expulsion des juifs en 1492, avec les deux conservées à Tolède. Le premier étage était réservé aux femmes, selon la structure habituelle des synagogues de l’époque. Le vestige militaire le plus visible à Cordoue est l’Alcázar des rois chrétiens, construit sur le site d’une forteresse occupée depuis l’époque wisigoth. Les murailles encerclant la ville et les diverses tours d’origines musulmanes et chrétiennes sont les vestiges du passé militaire de Cordoue. Une partie des remparts et la plupart des tours ont été détruites aux XVIIIe et XIXe siècles, mais quelques pans de murailles et quelques tours demeurent comme la tour de la Calahorra qui remonte à l’époque almohade XIIe siècle et la tour de la Malmuerta, de style mudéjar construite au XVe siècle. La tour de la Malmuerta est connue pour les nombreuses légendes. Le pont romain de Cordoue est le plus ancien et le plus important pont conservé de la ville. Il enjambe le fleuve Guadalquivir à son passage dans la ville et unit le Campo de la Verdad. Il a été construit au début du ier siècle. Sa longueur est de 331 mètres et il est soutenu par 16 piles il en comptait 17 à l’origine. Pendant vingt siècles, ce pont romain a été l’unique pont de Cordoue, jusqu’à la construction du Puente de San Rafael au milieu du XXe siècle. La porte romaine qui se trouvait au nord, rive droite, a été remplacé au fil du temps par une porte maure, puis, en 1572, par l’actuelle Porte du Pont. Au XIIe siècle, à l’époque almohade, la tour de la Calahorra a été construite sur la rive sud comme moyen de défense du pont. À mi-parcours sur le pont se trouve une statue de Saint-Raphaël. Le pont a été restauré dans les années 2000 et a rouvert le 9 janvier 2008. Le pont de Saint Raphaël de Cordoue Puente de San Rafael , inauguré en 1953 sous le régime franquiste, est le second pont à franchir le Guadalquivir dans la ville. Il relie l’Avenida del Corregidor à la Plaza de Andalucía. Long de 217 mètres, il est formé de huit arches longues chacune de 25 mètres, et sa largeur est de 18,5 mètres, dont 12 mètres de chaussée. Le Puente de Andalucía est un pont à haubans qui traverse le Guadalquivir à l’ouest de la ville. Il a été inauguré en 2004. Il fait partie du premier tronçon de la Ronda de Poniente. Sa longueur est de 210 mètres, prolongée par un viaduc de 200 mètres sur la rive droite du fleuve. Le Puente de Miraflores, inauguré en 2003, relie le parc de Miraflores au centre historique de Cordoue et passe à peu de distance du pont romain. Le pont de l’autoroute du Sud, destiné au trafic automobile, traverse le Guadalquivir et fait partie du périphérique sud-est de Cordoue. Le pont Abbas Ibn Firnás, inauguré en 2011, traverse le Guadalquivir à l’ouest de la ville. Il a été baptisé en hommage au savant andalou humaniste Abbas Ibn Firnas 810-vers 887. Le Puente del Arenal relie l’avenida del Campo de la Verdad au Recinto Ferial. Il existe aussi d’autres ponts, comme le viaduc qui unit l’Avenida Arroyo del Moro et la Glorieta del Poeta Ibn Zaydun, ou encore le pont romain d’Alcolea, situé entre les quartiers périphériques d’Alcolea et de Los Ángeles. Parcs et jardins Jardins de l’Alcázar, au sud-ouest de Cordoue Les Jardins de la Victoire Les Jardins de la Agricultura sont situés entre les jardins de la Victoire et le Paseo de Córdoba. Le parc des Miraflores est situé sur la rive sud du fleuve Guadalquivir. Le Parc Cruz Conde est situé au sud-ouest de la ville. C’est un jardin à l’anglaise public. Le Paseo de Córdoba, situé sur les chemins de fer souterrains, est une promenade longue de plusieurs kilomètres agrémentée de nombreuses fontaines. Les Jardins de Juan Carlos I se trouvent dans le quartier de la Ciudad Jardín. Les Jardins del Conde de Vallellano sont situés des deux côtés de l’avenue du même nom. Le Parque de la Asomadilla, d’une superficie de 27 hectares, est le deuxième plus grand parc d’Andalousie. Les Jardins de Colomb, aussi appelés “jardins de la Grâce” en raison de leur proximité avec le couvent de la Grâce siège du Conseil provincial de Cordoue. Les Sotos de la Albolafia. Déclarés monument naturel par le gouvernement d’Andalousie, ces bois sont situés sur une partie du cours du fleuve Guadalquivir, entre le pont romain et le pont San Rafael. Ils s’étendent sur une superficie de 21,36 hectares. Le parc péri-urbain de “Los Villares” Les jardins de l’Alcázar, la forteresse des rois chrétiens de Cordoue, au sud-ouest de la ville. Le long des rives du Guadalquivir se trouvent les moulins du Guadalquivir, des bâtiments de l’époque mauresque qui utilisaient le flux d’eau pour moudre la farine. Il s’agit des moulins d’Albolafia, Alegría, Carbonell, Casillas, Enmedio, Lope García, Martos, Pápalo, San Antonio, San Lorenzo et San Rafael. Madinat al-Zahra ou Medina Azahara était une ville fortifiée à la périphérie ouest de Cordoue. Ses vestiges représentent aujourd’hui un vaste site archéologique. La ville a été construite au Xème siècle par Abd-ar-Rahman III 912-961, membre de la dynastie omeyyade et premier calife d’Al-Andalus. C’était la capitale du califat de Cordoue et son centre gouvernemental. Les ruines de la ville sont fouillées depuis 1911. En 2009, un musée archéologique spécial a été ouvert ici. Le 1er juillet 2018, ce lieu a été déclaré site du patrimoine mondial de l’UNESCO avec l’inscription “Ville du califat de Medina Azahar”. Les bains califaux sont un complexe de bains islamiques ou bains arabes à Cordoue. Ils sont situés dans le centre historique de la ville. De manière tout à fait accidentelle, en 1903, les restes de bains maures ont été découverts dans le Campo de los Santos Martires, puis enterrés quelques mois plus tard. Entre 1961 et 1964, un groupe d´historiens cordouans remet à jour cette construction, démontrant sa grande importance. Ces bains ou hammam, contigus à l’alcazar des Omeyyades, aujourd’hui disparu, et auquel ils appartenaient probablement, ont certainement été les plus importants de la ville. Les ablutions et la propreté corporelle constituaient une partie essentielle dans la vie du musulman. Elles étaient obligatoires avant la prière en plus de constituer un rite social. Réalisés sous le califat de Alhakem II, ils forment un ensemble de salles aux murs en pierres de taille. Des arcs semi circulaires sur des chapiteaux et des colonnes de marbre supportent des voûtes où apparaissent les lucarnes caractéristiques en forme d´étoiles. Ils ont été réutilisés par les Almoravides et Almohades, du XIe au XIIIe siècles, comme en témoignent les stucages aux motifs floraux et les épigraphes de l’époque que l’on conserve au musée archéologique. Aujourd’hui, les bains ont été partiellement reconstruits et ouverts en tant que musée. Quartier de La Judería Juiverie, Cordoue est la zone de la ville dans laquelle les Juifs vivaient entre le Xe et le XVe siècle. Il est situé dans le centre historique de Cordoue, au nord-est de la Mezquita Catedral la mosquée-cathédrale, dans la zone des rues suivantes Deanes, Manríquez, Tomás Conde, Judíos, Almanzor et Romero. C’est l’une des zones les plus visitées par les touristes étant donné qu’en plus de la mosquée, vous pouvez voir des monuments tels que la Sinagoga Synagogue, le Zoco Municipal Zoco Municipal Market ou le Museo Taurino Musée de la tauromachie, entre autres. Il fait partie du centre historique de Cordoue, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Musées et maisons-musées Le Musée archéologique et ethnologique de Cordoue est l’un des plus complets d’Espagne. Ses collections comprennent des documents et œuvres allant de la Préhistoire au Moyen Âge. Le Musée provincial des beaux-arts Museo Provincial de Bellas Artes, situé dans l’ancien Hospital de la Caridad, abrite un fonds important de peintures et de sculptures. Le Musée Julio Romero de Torres rassemble la meilleure collection des œuvres du peintre cordouan Julio Romero de Torres 1874-1930. Le Musée diocésain des beaux-arts Museo Diocesano de Bellas Artes est situé dans l’ancien Palais épiscopal de Cordoue en face de la mosquée-cathédrale. Le Musée vivant d’Al-Andalus Museo Vivo d’Al-Andalus, aussi appelé Museo de las Tres Culturas Musée des trois cultures, se trouve dans la tour de la Calahorra. Les bains califaux de Cordoue, construits par le calife omeyyade de Cordoue Al-Hakam II au Xe siècle et qui ont été les plus grands de la ville, abritent un musée consacré à la culture des bains arabes médiévaux. Le Museo Taurino Municipal est consacré à la corrida et à ses représentants les plus fameux à Cordoue. La Casa de Sefarad, située en plein cœur du quartier juif médiéval la judería, en face de la synagogue, est consacré à la culture, à l’histoire et aux traditions séfarades. La Casa Andalusí, maison typiquement maure du XIIe siècle, contient une reconstitution des premières fabriques de papier ainsi que des collections de monnaies et de manuscrits médiévaux. Le Musée de l’eau est situé dans le Moulin de Martos, l’un des moulins du Guadalquivir à Cordoue. Le musée du Palais de Viana abrite notamment des tapisseries flamandes, françaises fabriquées à la Manufacture des Gobelins et goyesques fabriquées d’après des dessins de Goya ; des peintures à l’huile de l’école de Bueghel ; une collection d’œuvres de cuir et de métal travaillées du type guadameciles ou cordobanes ; une galerie de peintures de batailles, et une bibliothèque comptant environ 7000 volumes dont beaucoup en français. Le Musée Regina est consacré à l’orfèvrerie cordouane. Le Musée de la ville de Cordoue Museo de la Ciudad est situé dans l’ancien couvent de Sainte-Claire de Cordoue convento de Santa Clara. Le Musée de l’huile Carbonell est consacré à la fabrication de l’huile Carbonell est une entreprise espagnole d’huile. La Galerie de l’Inquisition, située dans le centre historique de Cordoue, abrite une collection privée d’instruments de torture médiévaux. La maison-musée Luis de Góngora y Argote est une maison du XVIIe siècle transformée en un musée et en un centre d’étude consacrés au poète baroque espagnol Luis de Góngora 1561-1627. La maison-musée Ramón García Romero 1941-2013, qui a spécialisé dans les techniques de travail et d’ornementation du cuir, qui a remis en usage des techniques médiévales du Xe siècle les guadamecíes et les cordobanes. Le Jardin botanique royal de Cordoue Real Jardín Botánico de Córdoba abrite deux musées. Le Musée d’ethnobotanique, inauguré en 1992, et le Musée de paléobotanique présente une exposition de fossiles végétaux de toutes les périodes géologiques unique en Europe. Le Centre d’art Pepe Espaliú, ouvert en 2010, contient une exposition d’œuvres de l’artiste cordouan Pepe Espaliú 1943-1993, peintre, sculpteur et poète. Les murs romains ont été construits après la prise de la ville par les Romains en 206 av. Les murs font maintenant partie du centre historique de Cordoue, un site du patrimoine mondial de l’UNESCO. Shopping Le centre commercial El Arcángel est situé dans le quartier El Arcángel, il a été ouvert en 1994 et couvre une superficie de plus de 34 000 m². Il est appelé “Eroski”. Le centre commercial La Sierra d’une superficie totale de 109 000 m², répartis sur cinq étages, a été construit en 1994. Le centre commercial Ronda de los Tejares de la chaîne El Corte Inglés. C’est le centre commercial le plus central de la ville, ouvert en 1995. Le centre commercial Zoco est situé sur l’avenue de Manolet. Le centre commercial Zahira est situé sur la Carretera de Madrid et Ronda Este appartient à la société Carrefour. Le centre commercial Ronda de Córdoba le groupe El Corte Inglés abrite également le centre Hipercor au rez-de-chaussée. Ouvert en 2012 après un investissement de 125 millions d’euros, c’est le centre le plus récent à être construit à Cordoue. Sa superficie est de 142 000 m². Gastronomie La gastronomie de Cordoue se compose principalement de produits de la campagne et de ses plaines fertiles, ainsi que de la Sierra, où le bétail est élevé. L’huile d’olive est produite dans la partie sud. La combinaison de tous ces ingrédients de la plus haute qualité crée une cuisine cordouane. À Cordoue, il existe une variante du gaspacho appelée le salmorejo, plus épais et crémeux que dans les autres régions d’Espagne. D’autre part, il existe des indications d’influence musulmane dans la gastronomie cordouane, comme l’utilisation d’épices origan, menthe, estragon ou la consommation d’aliments arabes comme le riz, les épinards, l’aubergine ou l’orange amère… Comme plats typiques de la cuisine de Cordoue, nous pouvons souligner le salmorejo, le flamenquin, la queue de bœuf, l’agneau au miel, les oranges hachées ou les artichauts à la montillana, le gâteau de Cordoue. Il y a 15 restaurants de la liste Michelin dans la ville Noor, Pablo Ruiz Picasso 6, 95 – 190 EUR • Cuisine créative Deux étoiles Choco, Compositeur Serrano Lucena 5, 95 – 125 EUR • Cuisine créative Une étoile La Casa de Manolete Bistró, Avenida de Cervantes 10, 40 – 89 EUR • Сuisine andalouse Arbequina, Ramírez de las Casas Deza 10-12, 29 – 75 EUR • Cuisine moderne, internationale La Cuchara de San Lorenzo, Arroyo de San Lorenzo 2, 35 – 80 EUR • Cuisine traditionnelle Taberna el nº 10, Romero 10, 25 – 35 EUR • Cuisine traditionnelle La Taberna de Almodóvar, Benito Pérez Galdós 1, 30 – 60 EUR • Cuisine traditionnelle El Envero, Teruel 21, 30 – 45 EUR • Cuisine moderne Celia Jiménez, Escritora María Goyri, 65 – 75 EUR • Cuisine moderne Tellus, María La Judía, 35 – 50 EUR • Cuisine traditionnelle Taberna Salinas, Tundidores 3, Cuisine régionale Casa Pepe de la Judería, Romero 1, 32 – 86 EUR • Cuisine régionale El Bar de Paco Morales, Ronda de los Tejares 16, 19 – 40 EUR • Cuisine moderne Los Berengueles, Conde de Torres Cabrera 7, 30 – 50 EUR • Cuisine traditionnelle Casa Rubio, Puerta Almodóvar 5, 30 – 60 EUR • Cuisine régionale Transports routiers L’aire métropolitaine de Cordoue est considérée comme l’un des principaux noyaux logistiques et de communication de la Communauté autonome andalouse. Plusieurs autoroutes autopistas et voies rapides autovias rayonnent depuis Cordoue Autoroute espagnole A-4 Voie rapide du Sud Autovía del Sur Madrid – Aranjuez – Cordoue – Séville – Jerez – El Puerto de Santa María – Puerto Real – Cadix Autoroute espagnole A-45 Voie rapide de Malaga Autovía de Málaga Cordoue – Encinas Reales-Antequera – Málaga A-431 Autovía Cordoue – Villarrubia Route nationale espagnole N-331 relie Cordoue et Málaga N-432 route nationale espagnole N-432 Badajoz – Zafra – Cordoue – Grenade Route nationale espagnole N-IV, dite route du Sud Madrid – Cordoue – Séville – Cadix Autoroutes urbaines CO-20 rocade ouest de Cordoue CO-30 Ronda de Circunvalación de Córdoba route de circonvallation de Cordoue CO-31 pénétrante nord de Cordoue depuis la N-432 CO-32 accès sud à l’Aéroport de Cordoue depuis l’A-4/A-45 Distances des principales villes d’Andalousie De Huelva 2 h 40 min 237 km via A-49 et A-4 De Grenade 2h15 201 km via A-92 et A-45 De Séville 1 h 42 min 141 km via A-4 De Malaga 1h50 158 km via A-45 De Cadix 2 h 38 min 259 km via AP-4 et A-4 D’Almérie 3h30 362 km via A-92 et A-45 De Jaén 1h27 119 km via A-311 et A-4 La gare de Cordoue se trouve au nord de la ville, plaza de las Tres Culturas. Elle est desservie par la ligne de train conventionnelle qui relie Madrid au sud de la péninsule ; c’est à Cordoue que cette ligne se divise en deux branches, l’une partant vers Málaga et Algeciras tandis que l’autre part en direction de Séville. La gare de Cordoue est également desservie par les trains Alta Velocidad Española AVE, les trains à grande vitesse. La gare de Cordoue est la deuxième gare la plus fréquentée du pays après Madrid Atocha. Cordoue dispose d’un aéroport administré par l’entreprise publique ENAIRE. Le type d’aéronefs pouvant circuler par cet aéroport ne dépasse pas certaines dimensions en raison de la longueur limitée de la piste. Informations Superficie 1253 km² commune Population 326 039 municipalité Langues espagnol Monnaie Euro Visa Schengen Heure Europe centrale UTC +1 Coordonnées 37°53′ 4°46′
Villa romaine du Prieuré Vue d'ensemble des peintures murales Localisation Pays Suisse Canton Vaud Commune Pully Protection Bien culturel d'importance national Coordonnées 46° 30′ 34″ nord, 6° 39′ 43″ est Géolocalisation sur la carte canton de Vaud Géolocalisation sur la carte Suisse La villa romaine du Prieuré, parfois simplement appelé villa romaine de Pully est une villa romaine de Suisse, situé sur le territoire de la commune vaudoise de Pully. Histoire La villa romaine, située au centre du village actuel, a été construite vers le Ier siècle[1] et s'est considérablement développée un siècle plus tard avec, en particulier les adjonctions d'un bassin de 36 mètres et d'un second étage[2]. Les fondations de cette villa ont été mises au jour lors de premières fouilles successives menées en 1921 lors de la restauration de l'église et en 1941 ; entre 1951 et 1953, la construction de la Maison Pulliérane détruit une partie des ruines, avant que le site ne soit totalement fouillé entre 1971 et 1981[3]. Un premier projet de conservation des ruines en plein air est abandonné en faveur de la construction d'un musée fermé permettant de conserver sur place les peintures murales. La place du Prieuré est, quant à elle, marquée de pavés roses indiquant le plan de la villa[4]. Villa romaine du Prieuré, peintures murales, l'aurige et le garçon de piste Description Le site actuel ne présente plus qu'une partie du portique bordant la villa et un pavillon en demi-cercle sur deux étages. Ce dernier était décoré de peintures murales ainsi que d'une mosaïque au premier étage[5]. Seule la partie basse du décor, qui mesurait jusqu'à 6 mètres de hauteur sur près de 15 mètres de largeur, est encore visible de nos jours elle se présente sous la forme d'un trompe-l'œil architectural formé de quatre panneaux délimités par des colonnes de faux marbre et représentant des courses de chars dans un cirque[6]. La villa, de même que les peintures murales, sont classées comme biens culturels suisses d'importance nationale[7]. Notes et références ↑ Ric Berger, Lavaux, Lausanne, Cabédita, 2001 ISBN 978-2-88295-037-6, lire en ligne, p. 11-12 ↑ La construction de la villa », sur consulté le 6 novembre 2012 ↑ L'archéologie de la Villa », sur consulté le 6 novembre 2012 ↑ Pully - les bâtiments du Prieuré, rapport historique », sur consulté le 6 novembre 2012, p. 24 [PDF] ↑ Villa romaine de Pully », sur consulté le 6 novembre 2012 ↑ Peintures murales », sur consulté le 6 novembre 2012 ↑ L'inventaire édité par la confédération suisse, canton de Vaud [PDF] Voir aussi Bibliographie en Sandrine Reymond, The Roman villa at Pully and its wall paintings, vol. 33, Musée de Pully, coll. Guides archéologiques de la Suisse », 2001 Michel Tarpin, Sylvie Berti, Marc-André Haldimann, Frédéric Rossi, Lucie Steiner, Le bassin lémanique gallo-romain, Gallia, Tome 56, 1999, pp. 33-44, [1] Catherine May Castella dir., La villa romaine du Prieuré à Pully et ses peintures murales, Lausanne, Cahiers d'archéologie romande, 2013, 400p. Liens externes Site officiel de l'ArchéoLab musée abritant la villa romaine Présentation de la villa romaine sur le site Catégories Villa romaine en SuisseSite archéologique dans le canton de VaudBien culturel d'importance nationale dans le canton de VaudPullyDernière mise à jour du contenu le 12/02/2021.
Lundi 20 juin 2022 - 0938 Romaine participe aux tâches familiales, comme la préparation des légumes pour le repas. Par Geoffrey Kalebbo Denye, WV DRC SHR Communications Specialist Romaine avait 8 ans lorsqu'elle a été contrainte de fuir son pays, la République centrafricaine RCA, pour la République démocratique du Congo RDC avec sa famille. "Je me souviens de ce jour comme si c'était hier. Il y avait des combats, j'ai entendu des armes à feu et quelqu'un a été abattu juste devant moi", se souvient la jeune fille aujourd'hui âgée de 12 ans. Romaine, sa mère, son père et ses frères et sœurs ont fui leur maison à bord d'une pirogue en bois, à environ une heure de route de leur village en République centrafricaine pour se rendre en République démocratique du Congo. En chemin, ils ont traversé la rivière Ubangi, le plus grand affluent de rive droite du fleuve Congo dans la région de l'Afrique centrale. Romaine et sa famille ont fini par s'installer au bord du lac, la meilleure décision de leur vie après avoir quitté leur maison et leur famille. Le lac est une source de subsistance et fournit la nourriture de la famille. Ils ont également un petit jardin pour leurs légumes. Cependant, la région a ses propres défis. Vivre près d'une grande étendue d'eau signifie rester à proximité des moustiques qui causent le paludisme. World Vision, en collaboration avec Search for Common Ground et grâce à un financement du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés HCR, aide Romaine et sa famille à commencer une nouvelle vie dans la dignité. "Avant, j'étais souvent malade, mais depuis que nous avons les moustiquaires, notre famille a peu de cas de paludisme. Je suis toujours en classe pour apprendre et jouer avec mes amis, contrairement à ce qui se passait lorsque j'étais souvent malade", explique Romaine. Sa mère Claudia affirme que les moustiquaires ont aidé les enfants à grandir en bonne santé et à devenir forts. Nous ne dépensons plus d'argent pour le traitement du paludisme. Mais le paludisme n'est pas la seule menace. Romaine sait combien il est difficile pour les filles de gérer leur cycle menstruel lorsqu'elles ne disposent pas des équipements sanitaires nécessaires. "J'avais l'habitude de rester à la maison lorsque j'avais mon cycle menstruel, de peur de m'embarrasser en public. C'était à l'époque, aujourd'hui, je ne m'inquiète pas de cette période du mois. Je fais partie des nombreuses filles de mon école qui ont reçu des kits d'hygiène contenant les articles nécessaires. Je suis plus confiante à l'école et j'ai le temps de jouer avec mes amis. Je ne m'inquiète plus pour mon prochain cycle car les serviettes sont réutilisables", explique Romaine, Romaine vit avec ses parents et ses frères et sœurs à Satema, en RDC, où elle vit depuis près de 4 ans, depuis qu'ils ont fui le conflit en République centrafricaine. Claudia, la mère de Romaine, est membre du groupe Vrai Mere Bonne mère. Un groupe qui apprend aux mères à préparer des repas nutritifs pour leur famille et à protéger les enfants dans les camps de réfugiés. "Dans le groupe, on apprend aux mères à préparer les aliments disponibles localement. J'adore la façon dont ma mère cuisine les aliments. C'est délicieux", dit Romaine. Le dialogue facilité par le groupe permet de placer les questions de protection de l'enfance en tête des priorités de la communauté. "Dans les endroits isolés comme Satema, où la présence du gouvernement est moins visible, les groupes de bonnes mères et de bons pères ont contribué à développer des structures informelles pour assurer la sécurité des enfants et faire respecter les règles de responsabilité en matière de protection de l'enfance", explique Sylvain Kayumba, agent de terrain de World Vision à Gbadolite. "Nous donnons la priorité aux efforts visant à augmenter les revenus des familles, afin de répondre aux craintes soulevées par Claudia". Claudia attribue la plupart des problèmes de protection à la pauvreté. "Il n'y a pas d'argent. La pauvreté rend la vie difficile. S'il n'y a pas d'argent et pas de possibilité d'aller à l'école, les jeunes garçons et les hommes en profitent. Ils attirent les filles avec des cadeaux d'une manière qui conduit souvent à des abus sexuels", explique Claudia. Bien que Romaine ne soit pas dans son pays natal, le travail entrepris par World Vision et ses partenaires a aidé beaucoup de personnes comme elle à se sentir chez elles. Nous avons accès à la santé, aux écoles, à l'eau et à l'assainissement. "Je veux étudier davantage pour pouvoir devenir enseignante, car les enseignants sont intelligents", dit-elle. Les partenaires qui travaillent avec World Vision comprennent les partenaires Search for a Common Ground et le HCR.
20 traverse de la villa romaine